Bon me voilà
de retour sur la très populaire course des Templiers, 2 ans après ma première expérience.
Mais cette
fois ci, je ne suis pas venu seul, c’est mes collègues qui m’ont motivé à y
revenir en la choisissant comme sortie club. Nous sommes donc 17 à descendre à Millau pour faire une des
nombreuses courses prévues sur le WE. 5 seulement inscrits sur la course phare
du dimanche : La Grande Course des Templiers, 72km et 3250m de D+.
Un événement
familial a pourtant chamboulé un peu ma semaine et je ne pensais pas participer
encore 3 jours avant. Bref le choix a été pris de participer quand même donc
départ Vendredi pour Millau, sous la flotte…
Heureusement
les prévisions doivent être meilleur pour le dimanche avec du soleil mais avec
un froid polaire et du vent par rafale.
Côté
logistique, vu notre grand nombre, on a pris un gite à St Eulalie de Cernon, à
25km de Millau, dans un ancien château, plutôt atypique comme maison d’accueil.
On squatte du coup une des tours sur 3 niveaux…
Le samedi, retrait des dossards, il y a beaucoup de monde dans les allées du mini-village de tentes, 7000 personnes sont attendues sur le week-end.
Ensuite, place aux premières courses, certains sont engagés sur le Marathon des Causses,
d’autres sur la VO2 Trail ou encore La templière, le seul hic est qu’on ne peut
pas suivre tout le monde, on ira donc encourager les collègues du marathon sur
le Puncho d’Agast, l’espèce de monolithe surplombant Millau.
On se sera
d’ailleurs bien caillé car le changement de temps est en route et la douceur et
la pluie de la veille laisse place au froid et aux averses de grésille (faut
pas dire averse de neige dans l’Aveyron !). Ils termineront tous quand même sous un soleil qui finira par
percer en fin d’après-midi.
Dimanche,
c’est notre tour !! Après une grosse réflexion sur le choix vestimentaire,
j’ai choisi l’option 3/4 + booster pour couvrir les jambes et avec un débardeur
Odlo en première couche + maillot manche longue en seconde couche + mon coupe
vent afin de parer le froid annoncé (jusqu’à -4°C prévue sur le plateau des
Causses et des rafales pouvant atteindre 95km/h). J’ai décidé aussi à la
dernière minute de laisser la GoPro dans le sac car les conditions de course
s’annonce déjà assez difficile d’un point de vue technicité du terrain et
météo, pas la peine d’y ajouter le facteur reportage vidéo, tant pis, je préfère
me concentrer sur MA course… !!
Réveil donc
à 3h, le départ est prévu à 5h15 (ouille c’est tôt !!!)
Après un
petit déjeuner bien rassasiant, la préparation des pieds et des muscles aux
Musclor, nous prenons la route pour Millau, pas trop de problème pour se garer
malgré le monde sur place, 2800 coureurs sont inscrits tout de même, ça
commence à faire…
L’aire de
départ et d’arrivée à changer par rapport à ce que j’ai connu en 2010. Ce n’est
plus devant la Ganterie de Millau mais directement au bord du Tarn, c’est pas
mal mais un peu loin des parkings !! Il faudra un bon quart d’heure de
marche pour y arriver.
Le timing
est parfait, nous arrivons juste 10 minutes avant le départ, le temps de laisser
les affaires à la consigne, prendre un petit café et manger une banane.
5min avant
le coup de feu, nous prenons place dans l’énorme peloton, je gruge un peu et
saute la barrière histoire de ne pas partir de trop loin quand même, je dois me
trouver à peu près dans le premier tiers.
C’est
l’heure, après le dernier brief de l’organisateur, la traditionnelle chanson
d’ERA se charge du fond sonore alors que des fumigènes rouges donnent une
ambiance particulière de fin du monde !!
Malgré l’heure plutôt
« matinale », il y a énormément de monde pour nous encourager, ça
prend les tripes, c’est super sympa.
Bon comme
d’habitude les premiers km se font à un rythme très élevé, chacun à envie de se
placer pour la première difficulté du jour, la cote de Carbassas qui arrive dès
le 3ème km.
Au bas de la
cote, j’ai déjà presque 14km/h de moyenne, c’est sûr, ça réchauffe !!
Pourtant durant ces premiers km, je n’ai pas arrêté de me faire doubler….pas de
doute, le niveau est hyper relevé !
Les
premières pentes sont assez douce mais après ça se corse sérieusement avec une
augmentation spectaculaire de l’inclinaison du chemin dès la sortie du village,
ce sera de toute façon un peu une généralité sur les différentes côtes qui font
le parcours.
En haut,
nous retrouvons le plateau des Causses, et comme prévu, le vent est bien plus
fort qu’en fond de vallée mais nous ne le ressentons pas trop car les chemins
serpentent sous les pins, ce qui nous abrite quand même pas mal.
Cette partie
est très roulante et assez peu technique, la vitesse est donc assez élevé, la
moyenne remonte bien du coup. Attention quand même à lever les pieds car de
nuit les reliefs sont bien moins perceptible.
Les
sensations sont là, j’ai de bonnes jambes mais je préfère rester à l’abri dans
un petit groupe de 5/6 coureurs, la route est encore très longue, il ne faut
pas se laisser enivré par la vitesse. De plus, l’un des coureurs a un phare
éclairant comme en plein jour et c’est bien confortable, ma MYO RXP fait pâle
figure à côté !!! D’ailleurs, au bout d’1h30, ma frontale clignote 3 fois,
pas bon ça !! Les piles sont bientôt mortes…. Heureusement le jour pointe
le bout de son nez et je devrais m’en sortir pour cette fois.
Vers le
18/19éme km, j’attaque le petit single descendant vers le 1er ravito
de Peyreleau. Je reconnais cette trace que nous avions déjà emprunté en 2010,
elle est très ludique et je me lâche complètement, prenant de la vitesse dans
les virages relevé, c’est vraiment toujours aussi sympa. Je ralenti un peu en
bas lorsque ma cheville plie de 90° sur le côté, ce n’est pas le moment de se
mettre en vrac !!
Km22 :
Peyreleau, 1er ravito, passage en 1h59, on n’a pas trainé…
Déjà
beaucoup de monde dans ce village qui fait parti des plus petit de France (70
habitants), la plupart des coureurs autour de moi jettent leurs bidons et
prennent des victuailles au vol, ça ne rigole pas, je fais un peu de même et me
jette sur un spectateur pour lui demander de me ranger ma frontale dans mon
sac, on se croirait sur un grand prix de F1, chacun veut perdre le moins de
temps possible alors qu’il reste encore plusieurs heures d’effort !!
C’est
reparti et à peine sorti du village, on attaque la pente dans les bois, en
direction du plateau à nouveau. Certaines portions sont bien raides mais se
montent encore correctement du fait du froid qui a figé la boue, pour le moment….on
verra qu’à l’heure du dégel, ce sera déjà moins marrant !!
Il a du
faire une averse de neige durant la nuit car par moment, les bas côté sont tout
blanc, ce qui donne un beau tableau entre le buis recouvert de neige et le
monotrace en terre. Cette portion entre le 1er et 2éme ravito passe plutôt
vite, la forme étant toujours présente, par contre, un échauffement sous un
orteil commence à venir perturber ce long fleuve tranquille.
Km34 :
St André de Vézines, 2éme ravito, passage en 3h06, ça avance toujours pas mal…
Avec le
froid, j’ai un peu peur des boissons type eau gazeuze, coca et autres pour mon
estomac et je décide de ne boire que de la soupe, ça fait un bien fou. 3/4 Tucs
et pattes de fruit et je repars aussi sec en marchant pour finir mon gobelet.
Je passe
aussi un petit coup de fil à mon collègue Bruno pour le tenir informer de ma
progression, ils sont encore au ptit dèj, forcément il n’est que 8h30… !!!
Le terrain
est plutôt roulant jusqu’au majestueux site des chaos de Roquesaltes, ce sont
d’immenses blocs rocheux qui se dressent à la verticale comme tombés de je ne
sais où, c’est magnifique.
Le parcours passe le long d’une arrête, d’où l’on
peut admirer à distance respectable ce spectacle, puis revient au pied, le vent
souffle à mort à cet endroit, il ne faut pas trainer, dommage !! Surtout
que juste après avoir passé les premiers blocs, on traverse la fameuse pierre
percée, on doit pouvoir y faire des photos sympas.
Malheureusement, pas trop le
temps d’admirer, il faut poursuivre le chemin…
Une longue
descente très sinueuse mais toujours aussi ludique nous ramène jusqu'à La Roque
Sainte Marguerite. C’est un sentier en balcon, pas bien large, avec un superbe
panorama sur la vallée, c’est un peu flippant par moment, car il ne faut
pas louper la trace sous peine de basculer dans le vide !!
En
traversant La Roque au km42, j’ai les 2 mollets qui se contractent, surement le
fait de recourir sur du béton, ce n’est pas bon signe pour la suite car je ne
suis pas encore arrivé. Il est
certain que le froid n’arrange pas les choses et contribue aussi à la
crispation des muscles. Bref, je profite du passage sur le pont pour me faire
quelques étirements. La suite est à nouveau une longue montée sèche, tellement
raide que la vallée devient vite petite !!
On arrive
alors à Pierrefiche, Km46, 3éme ravito, 4h45 de course, la fatigue commence à
peser…
Heureusement,
tous mes collègues sont là pour m’encourager, ça fait du bien, surtout qu’ils
doivent bien se cailler à attendre dans le froid.
Je reprends
encore une soupe « énergisante » paraît-il, et profite de ce ravito
pour refaire le plein de mon camelbag.
Une courte
pause pour parler avec les collègues puis je repars revigorer pour le dernier
tiers de course et certainement le plus dur !
Je cours un
moment avec une fille du team Salomon (estefani Jimenez), impressionnante, elle
ne s’arrête jamais de courir, alors que moi dès que la pente s’élève je me mets
en mode marche rapide. On voit que le retour est entamé car par moment, au
détour d’un virage donnant sur la vallée, on peut apercevoir au loin Millau,
c’est bon signe !
Après un
petit moment, la Salomon girl me laisser m’échapper dans une descente rapide et
technique où je me lâche bien pour revenir sur un petit groupe de 5 coureurs
qui bouchonnent. Le sentier est trop étroit pour doubler, c’est les montagnes
russes avec constamment des petites montées suivi de descentes, c’est très
casse-patte mais ce n’est pas plus mal car cela permet de marcher un peu et de
se refaire la cerise !!
Massebiau,
km61, déjà 6h20 de passé à randonnée !! J’ai l’impression d’avoir bien
avancé jusque là, remontant continuellement des concurrents.
Mais d’un seul
coup, je sens un grand vide, les jambes lourdes, le ventre qui grince, aie,
l’hypoglycémie m’attend au virage, c’est trop tard !!! Steph et Sandrine,
mon beau-frère et belle-soeur sont là pour me donner un peu de peps mais je
sens la fin proche, je vais caler comme en 2010, au même endroit, ce n’est pas
vrai, pas maintenant !
Je me suis fais avoir comme un bleu, moi qui avait
mis en garde mes collègues sur la débauche d’énergie supplémentaires par grand
froid, je me suis fais prendre… Trop tard maintenant, il faut que j’essai de
surmonter ce passage délicat, Steph et Sand m’accompagne dans la traversée du
village puis j’attaque la dernière « grimpette » vers le 4éme ravito
du Cade.
C’est d’autant plus dommage que je suis classé dans les 90 premiers à
ce moment là…Je me faisais une joie d’entrevoir le Top100.
En 2010,
elle m’était resté en travers et cette fois-ci, même punition, les jambes n’en
veulent plus, la pente est terrible, la terre a maintenant bien dégelé et les
appuis sont hyper glissant, il faut s’accrocher, se hisser, attraper les
branches, buissons pour ne pas repartir en arrière, c’est un vrai
calvaire !! Pour en rajouter une couche, il commence à faire presque
chaud, j’ai limite la tête qui tourne et tout le monde me double, c’est
l’horreur. J’ai l’impression de faire du surplace, le haut du plateau est
encore haut. J’ai envie par moment de m’arrêter sur un replat pour souffler un
bon coup mais je ne suis pas sûr de repartir, donc je prends mon mal en
patience et m’accroche à chaque coureur qui me passe…
Enfin en
haut, je croise un couple de marcheurs, « le ravito à 5min de
marche !! » Bon alors je vais essayer de me relancer et de courir un
peu pour y arriver plus vite. Je serpente entre les pins puis arrive à la ferme
du Cade que je connais bien depuis la veille puisqu’on y avait attendu les
collègues du Marathon des Causses, je comprends mieux maintenant pourquoi ils
grimaçaient en passant à ce même endroit !
Km64,5 :
Ferme du Cade, 7h12 de course, 52 min pour faire 3km…
En plus,
c’est un vrai couloir à vent, je me mets vite à l’abri à l’intérieur de cette très belle bâtisse en pierre et saute
sur tout ce qui bouge, Coca, eau gazeuze, Tuc, fromage, pates de fruit…2éme
erreur car en engloutissant aussi vite, je suis ballonnée !!
Au même
moment, un bénévole nous dit qu’il ne reste plus qu’une montée et c’est fini,
je lui dis que non, ce n’est pas possible, on doit redescendre vers l’arrivée
maintenant comme le Marathon de la veille et là il me montre le profil de la
course et l’endroit où l’on se trouve sur la carte, je me prends une nouvelle
claque !! Effectivement, je ne l’avais pas vu celle là, il faut bien
redescendre encore une fois et remonter au niveau du Puncho d’Agast avant d’en
finir, je suis dégouté !! Je prends mes cliques et mes claques et repars
en même temps que Sandrine Motto-Ros du Team Technica, tout aussi dégouté, elle
à l’air de passer un sale quart d’heure aussi !
On attaque
donc cette descente, ou plutôt ce pierrier, mes jambes n’en veulent plus,
tellement à l’aise jusque là dans les descentes, je suis maintenant
complètement sur la défensive en arrière, encaissant tous les chocs,
interminable !! Ca s’arrête enfin et on attaque à nouveau un petit sentier
à flanc de falaise entre montée et descente pour revenir jusqu’à l’aplomb de l’antenne
planté sur le Puncho et là c’est un vrai truc de malade, une côte ou plutôt une
paroi rocheuse à escalader, avec des marches de plus de 50cm, il faut
s’arquebouter, se mettre à quatre pattes pour avancer, s’élever.
Bon c’est
vrai le panorama sur tout Millau et le viaduc dans le fond est splendide mais
quand même !! Un coureur est assis sur un rocher, à bout, je lui demande
si ça va, comme si moi j’étais mieux, il ne peut même pas me répondre et me
fais un signe bizarre que je traduis par « je me repose 2min et ça
ira !! »
Il y a pas
mal de supporters dans cette portion qui nous encouragent et ça fait du bien
malgré tout.
Une fois en
haut du Puncho d’Agast, c’est un vrai soulagement, on peut enfin voir en
contrebas le village d’arrivée, on peut presque le toucher !!
Allez un
dernier effort, 3km de descente, on passe par la fameuse grotte du Hibou, où je
n’en profite pas car trop pressé d’en finir.
Cette descente qui avait été un enfer en 2010 avec de la pluie et la boue qui ravinait se passe cette fois ci plutôt bien malgré le fait que je sois bien raide sur mes appuis. Il y a tout de même quelques séries de marches bien hautes qui finissent de tuer les cuisses comme ci les descentes devaient être aussi dures que les montées…
Cette descente qui avait été un enfer en 2010 avec de la pluie et la boue qui ravinait se passe cette fois ci plutôt bien malgré le fait que je sois bien raide sur mes appuis. Il y a tout de même quelques séries de marches bien hautes qui finissent de tuer les cuisses comme ci les descentes devaient être aussi dures que les montées…
Dernière
portion de champs en dévers, j’aperçois Sandrine, je descends le dernier talus
et en termine finalement avec cette Grande Course des Templiers qui a été à la
hauteur de sa réputation, certainement le trail le plus dure et le plus varié
que j’ai courru jusqu’à maintenant, sans commune mesure avec les épreuves de
montagne, celui-ci est cassant jusqu'à la moelle !! Il m'aura finalement fallu quasiment 2h pour faire les derniers 10km!!
Mais que de souvenirs et d’émotions, c’est du très lourd !!!
Mais que de souvenirs et d’émotions, c’est du très lourd !!!
Km 72,5,
Millau, 8h31 à l’arrivée, 122éme, mon hypo n’a pas pardonné, aucune erreur est
admissible sur cette course, le niveau est trop relevé !
A peine
arrivée, je ressens une vive douleur dans le genou gauche, je ne peux plus le
plier, pas bon tout ça, j’ai du me le vriller dans la dernière descente vu le
manque de souplesse dont j’ai fait preuve.
Pas le temps
de m’attarder et d’attendre mes valeureux collègues, je devrais partir aussi
sec rejoindre ma famille pour un moment beaucoup moins réjouissant…
Avant de
reprendre la route, nous nous sommes quand même arrêter au Mc Do de Millau,
pour refaire le plein de calories et là quelle surprise, le team Salomon avec
Kilian Jornet, je ne pouvais pas passer à côté de la petite photo (même en ayant
encore la bouche pleine !!)
Après 3
jours, le bilan est celui-ci : Le genou qui m’avait inquiété à l’air de se
tenir à carreau, par contre, j’ai les 2 chevilles gonflées !! J’attends
donc que les courbatures se fassent la malle pour aller me faire manipuler chez
l’osthéo, je pense que les forts dénivelés négatifs sur terrain instable ne
sont pas inconnus à ce mal.
super CR ,et encore félicitation et bon retablissement
RépondreSupprimerMerci Seb, ça va déjà bien mieux, je pensais aller rouler Dimanche mais la météo va pas être terrible à priori...
Supprimeret bien moi j ai rien fait ce dimanche avec cette meteo !!! samedi prochain j espere la meteo sera bonn pour le trail des flambeaux !!!!
SupprimerPareil pour moi, dommage vu le temps qu'il a fait cet après midi!!
SupprimerCa va être bon Samedi prochain aux Flambeaux s'il continue de pleuvoir!
Salut les sportifs,
Supprimervélo hier après midi sous le soleil en vallée de chevreuse ! Quoi de neuf bruno ? l'ostheo a fait des miracles ? de mon côté j'ai l'adducteur droit qui siffle ça pue !!!! kine/ostheo mercredi soir pour un verdict, j'espère éviter la pubalgie !
Ouille pas cool ça David!! Si c'est comme moi, les ondes de chocs avaient bien marché...
SupprimerMoi, j'ai pas encore été voir l'osthéo mais je me sens bien raide donc j'y vais doucement pour reprendre!! Tiens moi au courant!!
hello bruno,
SupprimerBon pour le moment plus de peur que de mal, je serai bien là samedi soir, tu passes nous voir bruno ?
David
Bon c'est rassurant alors!! Fais gaffe quand même demain soir, à défaut de pouvoir venir, je penserais à vous!!
SupprimerBonne course!
Dommage pour deman soir, j'y vais surtout pour remettre un dossard et reprendre des repères de nuit ;-) Tu fais une sortie longue avant "apocalypse trail" de décembre ?
RépondreSupprimerDavid