La frontale est donc l'accessoire indispensable pour continuer à pratiquer notre activité, j'utilise pour ma part la Petzl NAO dont les qualités ne sont plus à démontrer. (voir ici)
Kalenji a sorti depuis quelques temps déjà un concept de lampe ventrale ou plutôt "torsale" façon Ironman que j'ai pu tester lors de mes dernières sorties en forêt.
Tout d'abord quelques caractéristiques technique:
-3 modes de puissance, 250, 180 et 90 lumens
- Autonomie de 5h dans le mode 90 lumens
- 200g pour le poids
- Batterie dans le dos avec 3 Led rouge intégrés
- Rechargeable en 5h via USB
Bouton On/Off sur la lampe, facile d'accès, pression répétée pour passer d'un mode à l'autre.
Le côté pratique maintenant!
Force est de constater que la mise en place n'est pas facile bien que le schéma le laisse croire! En fait les sangles élastiques sont relativement longues (forcément ce n'est pas une frontale!), et du coup elles se mettent de travers. Bon on fini par y arriver mais je trouve que ça manque d'aisance!
En fait, pour tout dire, j'ai eu du mal à voir la différence entre les 3 modes en termes de puissance. Certes le 3éme donne le maximum de lumens mais le premier fait déjà très bien l'affaire!
L'éclairage devant soi est vraiment très bon et permet de courir correctement tant que le terrain n'est pas trop piégeux. La lumière est présente dès le bout des pieds et jusqu'à une bonne cinquantaine de mètres devant.
Ce qui m'a gêné, c'est plutôt le faisceau qui reste unidirectionnel à la différence d'une frontale qui suivra les mouvements de la tête. Ça peut devenir embêtant lorsque l'on attaque des petits sentiers technique où l'on a besoin de voir à droite, à gauche ou en l'air.
Dans une montée raide par exemple, l'éclairage reste horizontale et vient butée dans la pente, réduisant considérablement le champs de vision.
Bon ce n'est pas non plus la cata car la plupart du temps, courir de nuit ne veut pas dire courir vite et on a donc le temps de voir arriver les obstacles en privilégiant la recherche de confort visuel pour éviter de se blesser.
Du coup, pour la sortie suivante, j'ai décidé d'utiliser en plus ma frontale et j'ai trouvé ainsi un couplage d'éclairage très intéressant et très complémentaire. La frontale, en gardant le port de tête droit, a tendance a éclairer efficacement à partir de 1m devant alors que la Run Light va éclairer bien avant, ce qui apporte ce confort visuel bien appréciable.
Voici un petit rendu en photo des différentes configurations:
Une solution d'éclairage puissant à faible cout que je vous recommande donc pour vous accompagner sur toutes vos sorties nocturnes seule ou en complément comme moi d'une frontale si vous désirez avoir un maximum de visibilité en sous-bois!
- Rechargeable en 5h via USB
Le côté pratique maintenant!
Force est de constater que la mise en place n'est pas facile bien que le schéma le laisse croire! En fait les sangles élastiques sont relativement longues (forcément ce n'est pas une frontale!), et du coup elles se mettent de travers. Bon on fini par y arriver mais je trouve que ça manque d'aisance!
Une fois sur le torse, pas de soucis, on ne la sens pas du tout, le serrage doit être ajusté pour qu'elle ne bouge pas mais pas la peine non plus de serrer comme un malade si on veut continuer de respirer!! Les femmes pourront profiter de leur poitrine pour le calage! :-). Ce que j'ai pu remarqué cependant, c'est que la boucle de serrage avait tendance à ne pas garder le serrage pendant l'effort obligeant à réajuster de temps à autre.
Prêt pour le test terrain! :-)
L'éclairage devant soi est vraiment très bon et permet de courir correctement tant que le terrain n'est pas trop piégeux. La lumière est présente dès le bout des pieds et jusqu'à une bonne cinquantaine de mètres devant.
Ce qui m'a gêné, c'est plutôt le faisceau qui reste unidirectionnel à la différence d'une frontale qui suivra les mouvements de la tête. Ça peut devenir embêtant lorsque l'on attaque des petits sentiers technique où l'on a besoin de voir à droite, à gauche ou en l'air.
Dans une montée raide par exemple, l'éclairage reste horizontale et vient butée dans la pente, réduisant considérablement le champs de vision.
Bon ce n'est pas non plus la cata car la plupart du temps, courir de nuit ne veut pas dire courir vite et on a donc le temps de voir arriver les obstacles en privilégiant la recherche de confort visuel pour éviter de se blesser.
Du coup, pour la sortie suivante, j'ai décidé d'utiliser en plus ma frontale et j'ai trouvé ainsi un couplage d'éclairage très intéressant et très complémentaire. La frontale, en gardant le port de tête droit, a tendance a éclairer efficacement à partir de 1m devant alors que la Run Light va éclairer bien avant, ce qui apporte ce confort visuel bien appréciable.
Voici un petit rendu en photo des différentes configurations:
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| Run Light seule: la lumière est concentré proche des pieds. |
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| Frontale seule, le faisceau lumineux part à plus d'1m50 |
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| Run Light + frontale: c'est comme en plein jour!!! |
Tout à fait d'accord avec toi, en complément d"une frontale, ça peut être top....Mais en course, si il faut enlever ou rajouter une couche, cela peut être vite pénible. A voir... JPG
RépondreSupprimerExact je pense que c'est bien pour l'entrainement ou les courses petite distance mais compliqué à gérer sur du long...
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